🐂 Comité Français De Lutte Contre L Hypertension Artérielle

Crééen 1972, le Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle ( CFLHTA) est une association régie par la loi de 1901. D’après une étude réalisée à la demande du Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle, 30% des plus de 35 ans sont traités par un médicament antihypertenseur. Mais. Fondéen 1971, le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle (CFLHTA) est une association régie par la loi de 1901. Ses buts sont de mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public, plus particulièrement au corps médical ou au corps pharmaceutique, et d’entreprendre toutes les actions de formation ou d’information Comitéfrançais de lutte contre l’hypertension artérielle | Santé Magazine Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle - 5, rue des colonnes du Trône 75012 Paris NewsLetters duComité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle chez le sujet hypertendu Activité physique ou sportive . 2 La pratique régulière d’une activité physique ou sportive est reconnue comme bénéfique pour la santé en particulier chez les patients hypertendus. Le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) a souhaité connaître la pratique d LEGRAND LIVRE DE L’HYPERTENSION ARTÉRIELLE Le Professeur Jean-Jacques Mourad est l’ancien président du Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle. Il dirige le service d’hypertension artérielle du CHU Avicenne, AP-HP à Bobigny. Le Docteur Antoine Cremer est cardiologue dans l’unité Lhypertension artérielle (HTA) est la maladie la plus fréquente en France : près de 12 millions de Français sont touchés et quelque 3 millions supplémentaires ignorent qu’ils en souffrent. dune hypertension artérielle et pour aider à trouver le meilleur traitement. Pour cela, la haute autorité de santé (HAS) et le Comité Français de Lutte Contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) recommandent d’appliquer : la règle des 3 • 3 mesures le matin , • 3 mesures le soir, • 3 jours de suite. De récentes études Fondéen 1971, le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle (CFLH-TA) est une association régie par la loi de 1901. Ses buts sont de mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public, plus particuliè-rement au corps médical ou au corps phar-maceutique, et d’entreprendre toutes les actions de formation ou d’information Mardi18 décembre se déroule la Journée Nationale de lutte contre l’hypertension artérielle. Parce qu’un hypertendu sur deux seulement suit parfaitement son traitement et que sur les 15 millions de Français hypertendus, 4 millions l’ignorent, le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle (CFLHTA) lance une campagne pour aider les Français à surveiller leur Age7su. Comprendre l’hypertension artérielle L’hypertension artérielle HTA est une maladie caractérisée par une pression artérielle trop élevée. La pression artérielle est la résultante physique de l’éjection du sang par le cœur dans les vaisseaux sanguins. Elle s’exerce sur les parois vasculaires. Elle est caractérisée par deux valeurs extrêmes La valeur haute qui est mesurée lors de la contraction du cœur systole et qui permet de propulser le sang par l’aorte vers les artères périphériques. La valeur basse mesurée lors de la relaxation du cœur diastole, qui permet aux ventricules cardiaques de recevoir le sang arrivant dans les oreillettes par les veines caves et les veines pulmonaires. On parle d’hypertension artérielle lorsque l’une et/ou l’autre de ces valeurs, mesurée au repos, est supérieure aux valeurs normales 140 mmHg millimètres de mercure pour la pression systolique et 90mmHg pour la pression diastolique. La plus fréquente des affections cardiovasculaires L’hypertension artérielle est la maladie cardiovasculaire la plus fréquente, et constitue même la première pathologie chronique en France. On estime qu’un adulte sur trois est touché. Son incidence augmente avec l’âge elle concernerait ainsi moins de 10% des 18-34 ans contre plus de 65% après 65 ans. L’hypertension étant le plus souvent silencieuse sans symptôme, de nombreuses personnes ignorent qu’elles sont touchées. Seule une personne hypertendue sur deux aurait connaissance de son hypertension. Parmi elles, une sur deux seulement serait traitée par des médicaments antihypertenseurs. Enfin, une personne traitée sur deux aurait une pression artérielle normalisée. Ces chiffres permettent de bien comprendre l’ampleur de l’enjeu de santé publique que représente la maladie, son diagnostic et son traitement. Source Bulletin épidémiologique hebdomadaire, 2018 L’âge n’est pas le seul facteur de risque Dans l’immense majorité des cas, l’hypertension artérielle est dite essentielle, parce qu’aucune cause connue ne peut expliquer son apparition. Le trouble apparaît insidieusement et silencieusement, d’autant plus précocement que le sujet est exposé à certains facteurs de risque le vieillissement, qui favorise la perte d’élasticité des artères, constitue le premier facteur de risque non modifiable. Mais d’autres facteurs de risques sont déterminés par des habitudes ou une hygiène de vie qu’il est possible de modifier le surpoids, la sédentarité, une consommation élevée de sel, le tabac ou encore l’alcool. Les facteurs de risque modifiables et non ou peu modifiables de l’hypertension artérielle © Inserm / Frédérique Koulikoff Dans 10 % des cas environ, l’hypertension artérielle est secondaire à une maladie des glandes surrénales adénome corticosurrénalien ou syndrome de Conn, tumeur de la médullosurrénale ou phéochromocytome favorisant notamment la sécrétion de cortisol ou d’adrénaline dotés de propriétés hypertensives, une maladie rénale insuffisance ou polykystose rénale, sténose de l’artère rénale..., une maladie vasculaire coarctation de l’aorte, une maladie endocrinienne maladie d’Addison, acromégalie, dysthyroïdie…, certains traitements estrogènes, ciclosporine, érythropoïétine…. Enfin, l’hypertension artérielle peut exceptionnellement avoir une origine génétique syndrome de Gordon ou hypertension hyperkaliémique familiale. Un tueur silencieux aux conséquences majeures L’hypertension artérielle est souvent diagnostiquée de manière fortuite et tardivement, en raison de l’absence de symptômes révélateurs. Néanmoins, même s’ils sont rares, certains troubles peuvent être évocateurs maux de tête permanents ou culminant le matin au réveil vertiges troubles de la vue palpitations cardiaques suées saignements de nez Des poussées hypertensives brutales peuvent aussi entraîner des malaises, de violents maux de tête ou des difficultés à respirer. Si elle n’est pas traitée, l’hypertension artérielle peut à terme entraîner des complications graves au niveau cardiovasculaire, cérébrovasculaire ou au niveau de certains organes cibles rein, rétine…. L’évolution vers ces complications est généralement lente, mais peut être accélérée si d’autres facteurs de risque hypercholestérolémie, diabète... coexistent et ne sont pas traités ou contrôlés. Les principales complications auxquelles sont exposées les personnes hypertendues sont l’accident vasculaire cérébral AVC la cardiopathie ischémique angine de poitrine, infarctus du myocarde l’artériopathie des membres inférieurs l’insuffisance rénale chronique la rétinopathie une maladie neurodégénérative Alzheimer et maladies apparentées Elles s’expliquent par l’épaississement et la rigidification progressive des artères, ainsi que par l’aggravation de plaques d’athérome au niveau de certaines artères clés artère carotide, coronaire, rénale, fémorale… sous l’impact constant de la trop forte pression sanguine. Par ailleurs, la pression artérielle continuellement élevée augmente le travail du cœur afin de maintenir un débit normal. À terme, cette évolution se traduit par un épaississement de la paroi du ventricule gauche, une augmentation de sa masse et une perte de contractilité. Cette hypertrophie ventriculaire gauche peut progressivement mener à l’insuffisance cardiaque. Les principales complications associées à l’hypertension artérielle Un diagnostic essentiellement ambulatoire Au repos et dans des conditions non stressantes, les valeurs de pression artérielle systolique PAS et de pression artérielle diastolique PAD sont normalement respectivement inférieures à 140 mmHg et 90 mmHg. Mais la pression artérielle varie au cours de la journée d’une valeur basse au cours du sommeil, elle devient plus élevée pendant la journée, a fortiori en cas d’activité physique, d’exposition au froid, de choc émotionnel, de stress… Une mesure unique de la pression artérielle ne peut donc suffire à poser le diagnostic. Le diagnostic est évoqué par le médecin en cas de PAS et/ou de PAD anormalement élevées mesurée au cours de deux consultations différentes, séparées de quelques semaines supérieure à 140/90 mmHg ou une PAS supérieure ou égale à 150 mmHg chez les plus de 80 ans. Le médecin réalise plusieurs mesures au cours de la même consultation, à plusieurs minutes d’intervalle, à l’aide d’un brassard placé à hauteur du cœur chez le patient couché ou assis, après plusieurs minutes de repos. Ces valeurs sont uniquement indicatrices car, outre la variabilité de la pression artérielle, l’appréhension des patients vis-à-vis de l’examen ou de l’environnement médicalisé peut faire augmenter artificiellement leur tension effet blouse blanche ». Aussi, le diagnostic doit toujours être confirmé par une automesure tensionnelle AMT ou une mesure ambulatoire de la pression artérielle MAPA L’AMT repose sur l’utilisation d’un autotensiomètre à domicile. Le patient doit mesurer sa tension artérielle chez lui au calme en reproduisant 3 fois la mesure le matin et 3 fois le soir, durant 3 jours consécutifs règle des 3. Le diagnostic est posé face à des valeurs de PAS/PAD supérieures à 135/85 mmHg. La MAPA consiste à porter un brassard relié à un appareil électrique porté à la ceinture. Le tensiomètre mesure et enregistre les valeurs de pression artérielle tous les quarts d’heure durant 24 heures. Le diagnostic est posé face à des valeurs de PAS/PAD moyennes supérieures à 130/80 mmHg. Une stratégie thérapeutique bien encadrée Le traitement antihypertenseur vise à ramener les chiffres tensionnels sous les valeurs normales afin de réduire au maximum le risque de complication à long terme. La première action de prise en charge ne passe pas par la prescription de médicaments, mais par des mesures hygiéno-diététiques réduction du poids en cas de surcharge pondérale pratique d’une activité physique régulière adaptée à l’état de santé réduction de la consommation en sel moins de 6 g/jour réduction de la consommation d’alcool moins de 3 verres par jour pour les hommes et moins de 2 pour les femmes alimentation riche en légumes et en fruits et pauvre en graisses d’origine animale arrêt du tabac Si ces nouvelles habitudes de vie ne permettent pas d’atteindre des valeurs tensionnelles normales après trois mois, la prescription de médicaments antihypertenseurs est envisagée d’abord prescrits en monothérapie un seul médicament ou association plusieurs antihypertenseurs à doses faibles, le traitement pourra être adapté en cas de réponse insuffisante ou d’intolérance changement de monothérapie ou d’association, adaptation de la posologie, ajout d’un nouveau traitement.... Il existe cinq classes thérapeutiques qui, grâce à leur mécanisme d’action spécifique, possèdent des propriétés antihypertensives les diurétiques thiazidiques, qui favorisent l’élimination de l’eau et du sel par les reins les inhibiteurs calciques, qui favorisent la vasodilatation en bloquant l’entrée de calcium dans les cellules musculaires des artères les inhibiteurs de l’enzyme de conversion IEC et les inhibiteurs des récepteurs de l’angiotensine II ARA2, qui contrent à différents niveaux le système rénine-angiotensine, une cascade de régulation locale de la pression artérielle et de l’équilibre en eau et en sodium les bêtabloquants, qui diminuent la fréquence cardiaque les antihypertenseurs d’action centrale, qui régulent la tension artérielle au niveau cérébral Le choix de la/les classes thérapeutiques à prescrire est réalisé en fonction du mécanisme d’action le plus adapté au profil du patient et selon ses antécédents médicaux patient très âgé, PAS élevée avec PAD normale, insuffisance rénale, angor.... Les bêtabloquants et, a fortiori, les inhibiteurs d’action centrale ne sont pas prescrits en première intention. La persistance d’une valeur de PA au-dessus des objectifs tensionnels malgré un traitement associant au moins 3 classes thérapeutiques différentes est considérée comme une HTA résistante. Dix à 30 % des sujets hypertendus seraient concernés. Les enjeux de la recherche L’HTA mal contrôlée expose les patients à un risque majeur de complication. La recherche se focalise donc largement sur le développement de nouveaux traitements, qu’ils soient pharmacologiques ou chirurgicaux. Vers de nouveaux médicaments… Du côté des recherches pharmacologiques, le développement de quelques classes thérapeutiques pourraient prochainement aboutir Une nouvelle voie d’action a récemment été identifiée pour permettre de limiter la pression artérielle elle cible la néprilysine, une enzyme qui favorise normalement la dégradation des peptides natriurétiques, des peptides essentiellement produits par le cœur qui favorisent habituellement l’élimination urinaire du sodium et la vasodilatation. L’inhibition de la néprilysine permet aux peptides d’agir plus longuement dans l’organisme. Pour l’heure, cette approche thérapeutique est l’une des deux voies d’action de ces molécules angiotensin receptor neprilysin inhibitor, la deuxième ciblant la voie rénine-angiotensine-aldostérone. Le sacubitril constitue actuellement le seul représentant de cette classe thérapeutique, indiquée dans l’insuffisance cardiaque dont l’HTA est une des composantes. Une autre classe thérapeutique pourrait également être développée celle des inhibiteurs de l’aminopeptidase A. Ces molécules visent à cibler l’activité du système rénine-angiotensine cérébral qui est anormalement élevée chez les patients hypertendus. Elles permettraient de mieux contrôler la tension artérielle par une action centrale. Enfin, des données suggérant que le système immunitaire est impliqué dans la physiopathologie des maladies cardiovasculaires comme l’HTA s’accumulent. En effet, l’inflammation chronique associée à certaines conditions surpoids, tabagisme… engendrerait une inflammation vasculaire chronique à bas bruit, dans laquelle certains médiateurs de l’immunité sont surexprimés cytokines…. Des travaux préliminaires cherchent à cibler les médiateurs de l’immunité réduisant l’inflammation vasculaire, et secondairement la pression artérielle. … et d’autres approches thérapeutiques Parallèlement, les progrès technologiques et la meilleure connaissance de la physiopathologie de l’HTA ont progressivement permis d’envisager des approches interventionnelles pour combattre les formes résistantes. Parmi les différentes techniques en cours de développement, la dénervation rénale est la plus avancée elle consiste à détruire – par radiofréquence ou par ultrasons – les fibres nerveuses sympathiques innervant les artères rénales. Ces dernières sont en effet impliquées dans la neuromodulation de la pression artérielle. Des essais cliniques sont aujourd’hui menés pour déterminer quels sont les patients les plus aptes à répondre à ce traitement, les modalités opératoires optimales garantissant le meilleur résultat et l’efficacité à long terme de la technique. Elle est d’ores et déjà proposée dans certains cas d’HTA sévère et résistante, à risque pour le patient. La stimulation électrique des barorécepteurs est une autre approche en développement. Elle se fonde sur la présence de fibres nerveuses sensibles à la pression artérielle au niveau de la carotide et de la crosse de l’aorte. Dans les situations normales, une augmentation de la pression artérielle est suivie par un réflexe de vasodilatation et une baisse de la fréquence cardiaque bradycardie qui permettent de rétablir une valeur normale. La plupart du temps, les barorécepteurs des patients hypertendus deviennent progressivement moins sensibles et perdent leur capacité à réguler la pression artérielle. L’implantation d’un stimulateur délivrant un faible courant électrique est aujourd’hui étudiée afin de stimuler les barorécepteurs et de rétablir ainsi cette capacité de régulation de la pression artérielle. Elle fait aujourd’hui l’objet d’études cliniques dans des services spécialisés au cours desquelles la sécurité, l’efficacité à court et long terme et la tolérance de l’approche invasive doivent être mieux étudiées. Des études permettront également de déterminer s’il est possible d’obtenir un meilleur contrôle de l’HTA en associant la dénervation rénale et la stimulation électrique des barorécepteurs. Dossier réalisé en collaboration avec Bernard Lévy, unité 970 Inserm/Université Paris Descartes, Paris Centre de recherche cardiovasculaire PARCC, Hôpital européen George Pompidou, Paris. Publié le 13/12/2009 à 11h00 - Mise à jour le 20/09/2012 à 16h17 par Catherine Viot - Lecture en 2 min Le 15 décembre 2009, à l'occasion de la journée nationale de l'hypertension, le Comité français de lutte contre l'hypertension artérielle propose un test sur Internet permettant d'évaluer l'état de ses artères, reflet du risque cardio-vasculaire. Journée de l’hypertension un test pour évaluer ses risques En France, 15 millions de personnes sont concernées par l'hypertension près de 11 millions sont traitées et on estime qu'environ quatre millions ne sont pas dépistées. Une personne de plus de 65 ans sur deux est touchée par la l'âge, le tabac, l'excès de cholestérol et le diabète, l'hypertension est l'un des principaux facteurs de risque de maladie cardio-vasculaire accident vasculaire cérébral ou infarctus du myocarde, artériopathie des membres de pression dans les vaisseaux rigidifie les artères, accélérant leur vieillissement et augmentant le risque de formation de dépôts qui les beaucoup d'hypertendus, le risque cardiovasculaire reste abstrait, car l'hypertension donne peu de symptômes, voire pas du tout. Six questions pour connaître l'âge de ses artères Le Comité français de lutte contre l'hypertension artérielle CFLHTA a eu l'idée d'aider les personnes souffrant d'hypertension à prendre conscience de leur risque cardiovasculaire à travers un test rapide et validé scientifiquement intitulé "Hypertendus, connaissez-vous l'âge de vos artères ?".Pour le faire, il vous suffit de vous rendre sur le site et de répondre à six questions simples votre âge, votre sexe, si vous êtes diabètique... Il vous faudra connaître votre pression systolique le plus haut des deux chiffres de la tension artérielle et vos taux de cholestérol total et de bon cholestérol HDL.Ces données permettent à un programme informatique de calculer instantanément l'âge réel de vos artères, âge vasculaire, que vous pouvez comparer à votre âge Flash 2009 menée par le CFLHTA montre que 83 % des hypertendus ont un âge vasculaire supérieur à celui qu'indique leur date de naissance. Mais 10% d'entre eux seulement en sont conscients. Vous aimez cet article ? Cet été, profitez de nos offres d’abonnement à prix réduits pour partager ensemble bonne humeur, conseils santé, bons plans et infos immanquables ! Avec Notre Temps Santé & Bien-Être, prenez soin de vous. Nous utilisons des cookies sur notre site web pour vous offrir une expérience plus pertinente en mémorisant vos préférences et vos visites répétées. En cliquant sur "Accepter", vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies.

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